Cesar Avilès - Deja que te combata ya
Cesar Aviles
Onglet 1
Âge : 43 ans
Occupation : vendeur chez Exotica & Oddities
Head :
Habitation : 23, Suffield Road, London
Messages : 1
Date d'inscription : 04/04/2024
Âge : 117
Onglet 2
CESAR AVILES
DEJA QUE TE COMBATA YA
ID CARD
Cesar Ismael, Avilès
27 mars 1907, quarante-trois ans - aries
Panaméen _ Colombiennes, Vénézuéliennes, Guatémaltèques
Homme, he/him
Humain, Sorcier de sang-pur
Hétérosexuel
Sauvage comme la jungle
Vendeur à Exotica & Oddities
La Soberbia Roja, L'Aube Noire
Bois d'aubépine - épine du monstre du fleuve blanc - 27cm - plutôt rigide
Un faucon
Le néant
La jungle après la pluie, le rhum et l'orchidée
Charmeur - Curieux - Intelligent
Observateur - Obstiné - Vif
DETAILS & ANECDOTES
Timeline
• •
•
•
•
Né en plein cœur de la région du Darién, zone de non-droit au Panama, Cesar a vécu une enfance peu commune. Il faut dire que la région est loin d'être le lieu idéal pour grandir, terre d'accueil des malfrats en fuite et quartier général de l'organisation criminelle la plus célèbre d'Amérique latine : la Soberbia roja.
Renata Avilès en est membre depuis quelques années déjà lorsqu'elle tombe enceinte de son amant, également associé à l'organisation pour laquelle il gère tout un trafic d'amulettes magiques au Guatemala. Si le couple accueille la nouvelle avec joie, celle-ci sera de courte durée : en effet, à la suite d'une mauvaise transaction, Joaquin se fait tuer par les autorités et Renata se retrouve obligée de fuir, regagnant ainsi la région du Darién où elle sait qu'elle trouvera refuge facilement de par son allégeance. Recherchée activement par le Siège-Magique guatémaltèque, elle se terre au Darién pendant de longues années pour tenter de se faire oublier, et élève seule son fils unique. Elle lui apprend la magie, sans baguette, et les bases de la survie en terre hostile. Vif d'esprit et débrouillard, Cesar n'a aucun mal à se faire à ce milieu. Malgré les dangers et les esprits peu recommandables qui le peuple, il apprend même à l'aimer ; il y fait son chez-lui, un peu instable, certes, et sur lequel il faut parfois marcher comme sur des œufs, mais il s'y habitue et en apprend tous les codes.
Ainsi, Cesar n'a jamais foulé le sol d'une véritable école de magie. Il a tout assimilé grâce à sa mère et aux multiples rencontres faites au Darién, il lui faudra d'ailleurs attendre dix-sept ans avant d'obtenir sa première baguette – qu'il considère comme accessoire et dont il ne se sert que très peu. Il achète cette dernière la première fois qu'il quitte la région, lorsqu'il est envoyé récupérer des objets magiques pour le compte de la Soberbia roja. Car c'était inévitable ; l'enfant de Renata, plus grande faussaire de l'organisation, ne pouvait que la rejoindre à son tour.
Jeune et fougueux, et surtout sans aucune autre perspective qui s'offre à lui, Cesar s'enrôle alors officiellement. Il multiplie les allers-retours entre le Darién et les quatre coins du continent, jusqu'à cette fameuse fois à Cuba, où il est arrêté par les autorités. A seulement dix-neuf ans, Cesar est envoyé en prison où il passe cinq ans derrière les barreaux.
A sa sortie, ses pas le ramènent inévitablement à la seule maison qu'il connaisse. Probablement par la force de l'habitude et par ce lien indéfectible qui le relie à sa mère, à sa terre et aux membres de la Soberbia roja, qui sont pour lui comme une extension de sa famille. Cesar s'y plait, et même ses années coincés en prison n'y changent rien – au contraire. Alors il ne s'assagit pas, ne se laisse pas non plus submerger par cette impression pesante d'avoir raté de longs mois de sa jeunesse. Pour se rattraper, Cesar vit à cent à l'heure. Presque inconscient, dans sa manière nonchalante de s'enfoncer dans les affaires du groupuscule, dans sa façon de tout laisser glisser, comme si rien n'avait vraiment d'importance. Il embrasse l'existence de bandit, avec le sourire. Il se complait dans cette vie incertaine, dans le goût du risque et le frisson permanent qui le suit, à la trace, à chaque voyage, chaque transaction effectuée.
Mais l'illusion ne dure qu'un temps.
La réalité le rattrape quelques années plus tard, lorsque Renata est tuée sous ses yeux, en plein milieu d'une mission. Le décès de sa mère va profondément changer Cesar et sa manière de voir les choses ; moins insouciant, plus dur aussi. Cesar va s'assombrir, mais refuser de le montrer. Par fierté ou par déni, il continue de donner le change et de prétendre. Il devient une façade de sa propre personne et, dans l'ombre de la solitude, il laisse les idées noires le ronger. Il maudit la Soberbia roja, le Darién, le monde et la vie. Mais comme s'il souhaitait s'auto-détruire, il se plonge corps et âme dans les missions les plus dangereuses et violentes de l'organisation.
Cesar acquiert ainsi une place de choix, et devient un membre de confiance pour le leader qui voit en lui un parfait soldat – bien qu'un peu insolent, parfois même imprévisible. Mais toujours efficace. C'est donc tout naturellement qu'il le choisi lorsque la Soberbia roja s'intéresse aux affaires de l'Aube Noire, une organisation mercenaire européenne dont l'influence n'a de cesse de s'accroître. Désireux d'en savoir plus et, pourquoi pas, de trouver des accords, les deux dirigeants trouvent un terrain d'entente dans l'échange de certains produits.
Cesar est donc envoyé vers la cellule britannique de l'Aube, officiellement pour traiter les affaires, officieusement pour surveiller le groupuscule. Et au milieu de toutes ces machinations, Cesar retrouve les traces de sa famille maternelle. Véritable électrochoc, pour celui qui se pensait seul – et qui voyait fatalement en la Soberbia roja son unique maison.
Fiche personnage
Wiki
Renata Avilès en est membre depuis quelques années déjà lorsqu'elle tombe enceinte de son amant, également associé à l'organisation pour laquelle il gère tout un trafic d'amulettes magiques au Guatemala. Si le couple accueille la nouvelle avec joie, celle-ci sera de courte durée : en effet, à la suite d'une mauvaise transaction, Joaquin se fait tuer par les autorités et Renata se retrouve obligée de fuir, regagnant ainsi la région du Darién où elle sait qu'elle trouvera refuge facilement de par son allégeance. Recherchée activement par le Siège-Magique guatémaltèque, elle se terre au Darién pendant de longues années pour tenter de se faire oublier, et élève seule son fils unique. Elle lui apprend la magie, sans baguette, et les bases de la survie en terre hostile. Vif d'esprit et débrouillard, Cesar n'a aucun mal à se faire à ce milieu. Malgré les dangers et les esprits peu recommandables qui le peuple, il apprend même à l'aimer ; il y fait son chez-lui, un peu instable, certes, et sur lequel il faut parfois marcher comme sur des œufs, mais il s'y habitue et en apprend tous les codes.
Ainsi, Cesar n'a jamais foulé le sol d'une véritable école de magie. Il a tout assimilé grâce à sa mère et aux multiples rencontres faites au Darién, il lui faudra d'ailleurs attendre dix-sept ans avant d'obtenir sa première baguette – qu'il considère comme accessoire et dont il ne se sert que très peu. Il achète cette dernière la première fois qu'il quitte la région, lorsqu'il est envoyé récupérer des objets magiques pour le compte de la Soberbia roja. Car c'était inévitable ; l'enfant de Renata, plus grande faussaire de l'organisation, ne pouvait que la rejoindre à son tour.
Jeune et fougueux, et surtout sans aucune autre perspective qui s'offre à lui, Cesar s'enrôle alors officiellement. Il multiplie les allers-retours entre le Darién et les quatre coins du continent, jusqu'à cette fameuse fois à Cuba, où il est arrêté par les autorités. A seulement dix-neuf ans, Cesar est envoyé en prison où il passe cinq ans derrière les barreaux.
A sa sortie, ses pas le ramènent inévitablement à la seule maison qu'il connaisse. Probablement par la force de l'habitude et par ce lien indéfectible qui le relie à sa mère, à sa terre et aux membres de la Soberbia roja, qui sont pour lui comme une extension de sa famille. Cesar s'y plait, et même ses années coincés en prison n'y changent rien – au contraire. Alors il ne s'assagit pas, ne se laisse pas non plus submerger par cette impression pesante d'avoir raté de longs mois de sa jeunesse. Pour se rattraper, Cesar vit à cent à l'heure. Presque inconscient, dans sa manière nonchalante de s'enfoncer dans les affaires du groupuscule, dans sa façon de tout laisser glisser, comme si rien n'avait vraiment d'importance. Il embrasse l'existence de bandit, avec le sourire. Il se complait dans cette vie incertaine, dans le goût du risque et le frisson permanent qui le suit, à la trace, à chaque voyage, chaque transaction effectuée.
Mais l'illusion ne dure qu'un temps.
La réalité le rattrape quelques années plus tard, lorsque Renata est tuée sous ses yeux, en plein milieu d'une mission. Le décès de sa mère va profondément changer Cesar et sa manière de voir les choses ; moins insouciant, plus dur aussi. Cesar va s'assombrir, mais refuser de le montrer. Par fierté ou par déni, il continue de donner le change et de prétendre. Il devient une façade de sa propre personne et, dans l'ombre de la solitude, il laisse les idées noires le ronger. Il maudit la Soberbia roja, le Darién, le monde et la vie. Mais comme s'il souhaitait s'auto-détruire, il se plonge corps et âme dans les missions les plus dangereuses et violentes de l'organisation.
Cesar acquiert ainsi une place de choix, et devient un membre de confiance pour le leader qui voit en lui un parfait soldat – bien qu'un peu insolent, parfois même imprévisible. Mais toujours efficace. C'est donc tout naturellement qu'il le choisi lorsque la Soberbia roja s'intéresse aux affaires de l'Aube Noire, une organisation mercenaire européenne dont l'influence n'a de cesse de s'accroître. Désireux d'en savoir plus et, pourquoi pas, de trouver des accords, les deux dirigeants trouvent un terrain d'entente dans l'échange de certains produits.
Cesar est donc envoyé vers la cellule britannique de l'Aube, officiellement pour traiter les affaires, officieusement pour surveiller le groupuscule. Et au milieu de toutes ces machinations, Cesar retrouve les traces de sa famille maternelle. Véritable électrochoc, pour celui qui se pensait seul – et qui voyait fatalement en la Soberbia roja son unique maison.
SOCIAL CIRCUS
écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici
écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici
écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici
écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici
écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici
écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici
écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici
écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici
écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici écrire ici
|
|