Harel Pendlebury — ❝ If I fail, I don't get paid. ❞
Harel Pendlebury
The Sun
Âge : 25 ans
Occupation : Un peu escroc sur les bords
Head :
Habitation : Londres
Date d'inscription : 06/04/2024
The Moon
HAREL JESPER PENDLEBURY
A liar, a thief, and utterly without conscience. But he'll keep to any deal you strike with him.
ID CARD
Harel Jesper Pendlebury.
14 mars 1925, vingt-cinq ans -
Anglaise, origines inconnues.
Masculin, he/him.
Humain, sorcier, au statut de sang inconnu.
Hétérosexuel.
Célibataire.
Homme de main pour l'Aube Noire.
L'Aube Noire, mais principalement lui-même.
Sans baguette.
Un rat.
Le noir complet.
L'odeur de la fumée, de l'orage et de la vodka.
Rusé, perspicace, charismatique.
Egocentrique, froid et pessimiste.
DETAILS & ANECDOTES
Timeline
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At the beggining... He was a boy. A child.
Lorsqu’Harel Pendlebury est né, il ne cria pas immédiatement. Non pas parce qu’il ne savait pas encore qu’elle vie misérable l’attendait mais parce que sa mère le serrait si fort dans ses bras que ses pauvres poumons ne pouvaient aspirer que poussière et saleté. Là, à quelques minutes de vie, on essayait déjà de le tuer, de l’abandonner, de lui faire comprendre que la confiance n’avait pas lieu, même dans une famille.
C’est plus tard qu’il s’est mis à hurler, loin des mains maternelles plutôt mortelles. Injures, immondices, ordres et menaces se furent ses premières conversations, ses premiers flirts, ses premières manigances. N’allez pas croire qu’il devient un enfant bas du front en restant enfermé là-dessous jusqu’à la veille de ses sept ans. Loin de là, on lui apprit les meilleurs tours d’une vie. Le vol devient une habitude, les trocs étaient une routine nécessaire et le chantage était la discussion d’usage. C’est qu’il apprenait vite, le gamin, au grand étonnement du monde entier. Et puis, pour finir, il y avait cette magie qui grondait sous sa peau, jusque sous la crasse de ses ongles. Elle était sans cesse à la recherche d’une échappatoire à ce gouffre sans fin dans lequel il grandissait. C’était elle qui cherchait à rejoindre cette brise lointaine au-dessus de sa tête. C’était elle qui voulait créer un sacré grabuge pour l’en faire sortir. Mais la ruse était plus grande que la magie, dans ce corps si frêle. Ainsi, c’est au milieu d’une nuit sans lune, que l’enfant devient enfin libre. Il ne laissa pas une trace derrière lui, enfin, si une. Une mère sans vie, retrouvée gavée par une bouillie d’aliment pourris. La vengeance avait pris sept ans à se mettre en place, mais qu’est-ce qu’elle avait été satisfaisante.
And then he became a monster...
La rue n’a rien à donner à un enfant. Et pourtant Harel Pendlebury sût très rapidement quoi lui prendre et surtout où le prendre. Il avait compris depuis bien longtemps que certains dans ce monde était déchu dès leur naissance, alors il devait bien exister d’autres personnes aux poches bien remplies, ici-bas. Il commença par prendre leurs poubelles, puis leurs monnaies en nettoyant chaussures et baguettes. Et finalement en proposant des services plus alléchants, il se hissa à leur hauteur pour soutirer plus d’informations à revendre.
Comme il n’était pas le seul enfant livré à lui-même de cette maudite rue, Harel se fit de nouveaux compères de mauvaises fortunes. Certains l’aidèrent dans la misère et d’autres furent aidés à leur tour par cet avorton maigrelet. De là, commença à naître les murmures sur son passage, car c’est qu’il savait réussir ce satané gamin d’la prison.
C’est ainsi qu’il se voit à présent, indispensable être des bas-fond londoniens. Tueur à gage, escroc, crocheteur de serrure, menteur, voleur. Qu’importe le nom que vous lui donnez, si vous le connaissez c’est que vous avez besoin de lui. Alors il suffit d’avancer la monnaie pour que le travail soit fait. Puis oublier-le, car lui fera comme s’il n’avait pas retenu votre nom. C’est ainsi qu’ils font, les bons gens pleins de fortunes, non ? Ils oublient à qui ils ont affaires et c’est de cette manière qu’ils perdront tout. Contrairement à Pendlebury, qui, il l’espère, raflera tout.
Lorsqu’Harel Pendlebury est né, il ne cria pas immédiatement. Non pas parce qu’il ne savait pas encore qu’elle vie misérable l’attendait mais parce que sa mère le serrait si fort dans ses bras que ses pauvres poumons ne pouvaient aspirer que poussière et saleté. Là, à quelques minutes de vie, on essayait déjà de le tuer, de l’abandonner, de lui faire comprendre que la confiance n’avait pas lieu, même dans une famille.
C’est plus tard qu’il s’est mis à hurler, loin des mains maternelles plutôt mortelles. Injures, immondices, ordres et menaces se furent ses premières conversations, ses premiers flirts, ses premières manigances. N’allez pas croire qu’il devient un enfant bas du front en restant enfermé là-dessous jusqu’à la veille de ses sept ans. Loin de là, on lui apprit les meilleurs tours d’une vie. Le vol devient une habitude, les trocs étaient une routine nécessaire et le chantage était la discussion d’usage. C’est qu’il apprenait vite, le gamin, au grand étonnement du monde entier. Et puis, pour finir, il y avait cette magie qui grondait sous sa peau, jusque sous la crasse de ses ongles. Elle était sans cesse à la recherche d’une échappatoire à ce gouffre sans fin dans lequel il grandissait. C’était elle qui cherchait à rejoindre cette brise lointaine au-dessus de sa tête. C’était elle qui voulait créer un sacré grabuge pour l’en faire sortir. Mais la ruse était plus grande que la magie, dans ce corps si frêle. Ainsi, c’est au milieu d’une nuit sans lune, que l’enfant devient enfin libre. Il ne laissa pas une trace derrière lui, enfin, si une. Une mère sans vie, retrouvée gavée par une bouillie d’aliment pourris. La vengeance avait pris sept ans à se mettre en place, mais qu’est-ce qu’elle avait été satisfaisante.
And then he became a monster...
La rue n’a rien à donner à un enfant. Et pourtant Harel Pendlebury sût très rapidement quoi lui prendre et surtout où le prendre. Il avait compris depuis bien longtemps que certains dans ce monde était déchu dès leur naissance, alors il devait bien exister d’autres personnes aux poches bien remplies, ici-bas. Il commença par prendre leurs poubelles, puis leurs monnaies en nettoyant chaussures et baguettes. Et finalement en proposant des services plus alléchants, il se hissa à leur hauteur pour soutirer plus d’informations à revendre.
Comme il n’était pas le seul enfant livré à lui-même de cette maudite rue, Harel se fit de nouveaux compères de mauvaises fortunes. Certains l’aidèrent dans la misère et d’autres furent aidés à leur tour par cet avorton maigrelet. De là, commença à naître les murmures sur son passage, car c’est qu’il savait réussir ce satané gamin d’la prison.
C’est ainsi qu’il se voit à présent, indispensable être des bas-fond londoniens. Tueur à gage, escroc, crocheteur de serrure, menteur, voleur. Qu’importe le nom que vous lui donnez, si vous le connaissez c’est que vous avez besoin de lui. Alors il suffit d’avancer la monnaie pour que le travail soit fait. Puis oublier-le, car lui fera comme s’il n’avait pas retenu votre nom. C’est ainsi qu’ils font, les bons gens pleins de fortunes, non ? Ils oublient à qui ils ont affaires et c’est de cette manière qu’ils perdront tout. Contrairement à Pendlebury, qui, il l’espère, raflera tout.
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